Présentation du site

Ce blog a pour but de réunir les supporters du Football Club des Girondins de Bordeaux et ceux du Stade Montois Rugby.
Deux clubs empreints d'un riche palmarès et d'une illustre histoire.
Le but est d'échanger sur les résultats et la vie des deux clubs à travers les articles, sondages et les podcasts pour lesquels vous pourrez donner votre avis et même participer.
Nous nous efforçons de faire au mieux et nous espérons que ce blog réussira à vous plaire.
Enfin, au delà de ces deux clubs, nous parlerons également de sport en général ( Podcasts, Résultats, Forum etc… ).
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Rappel

Palmarès FCGB :

□ D1 ou Ligue1 - 6 fois Champion : 1950, 1984, 1985, 1987, 1999, 2009
□ D2 - 1 fois Champion : 1992.
□ Coupe de France - 4 fois vainqueur : 1941, 1986, 1987, 2013
□ Coupe de la Ligue - 3 fois vainqueur : 2002, 2007, 2009
□ Trophée des champions - 2 fois vainqueur : 2008, 2009

Palmarès SMR :

□ Championnat de France - 1 fois champion : 1963
□ Championnat de France de Pro D2 - 1 fois champion : 2002
□ Challenge Yves du Manoir ( ancienne coupe de France ) - 3 fois vainqueur : 1960, 1961 et 1962.


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mardi 6 juin 2017

33ème Journée : Nantes 0 - 1 Girondins de Bordeaux

Sud Ouest
Bordeaux remporte le derby de l'Atlantique et lutte plus que jamais pour une place dans les 5 !!!

Bordeaux est allé gagner à Nantes sans vraiment convaincre mais en étant solide.
Grâce à un but de Sankharé, Bordeaux a assuré l'essentiel, à savoir consolider leur 5ème place au classement.
Toujours talonnés par Marseille, les Girondins recevront Bastia au prochain match.

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Les Girondins de Bordeaux ont décroché une victoire précieuse dans le derby de l’Atlantique face à Nantes (1–0). Le break est fait dans la course à l’Europe.


Les Girondins vont pouvoir terminer le week-end de Pâques en toute tranquillité. Alors qu’ils ne s’étaient plus imposés à Nantes depuis 2009, les Bordelais ont décroché à La Beaujoire une victoire cruciale dans la course à l’Europe grâce à un but de Younousse Sankharé. Les hommes de Jocelyn Gourvennec relèguent leurs adversaires directs, Marseille et Saint-Etienne à quatre et huit longueurs au classement. Les deux équipes s’affrontent ce dimanche soir. Ils mettent également la pression sur Lyon, 4e, en revenant à deux points. Le coup parfait.

Le résumé (1–0)

Il y avait un parfum d’Europa League qui planait à la Beaujoire pour ce derby de l’Atlantique. Et pourtant, après le premier quart d’heure de jeu, le match ne s’est enflammé qu’en tribunes avec les supporters nantais qui craquent plusieurs fumigènes derrière la cage de Cédric Carrasso (11e). L’arbitre de la rencontre interrompt le jeu trois minutes, le temps que la fumée se dissipe.

A la reprise, Nantes croit ouvrir le score sur coup franc indirect mais Djidji est justement signalé hors jeu (17e). Les Canaris s’installent dans le camp bordelais, dominant les Girondins dans l’impact physique. Carrasso n’est pas vraiment inquiété pour autant, seule une frappe de Gillet viendra faire trembler son petit filet extérieur (25e).

Bordeaux sortira la tête de l’eau en fin de première période avec deux occasions nettes coup sur coup. Sur un centre en retrait de Sabaly, Kamano voit son tir contré in extremis par un pied nantais. Laborde vient ensuite claquer sa tête sur le corner qui suit mais Dupé sort une parade réflexe (43e). Dominés territorialement dans ce premier acte, les Girondins se seront finalement montrés les plus dangereux.

"Des deux côtés c’était nul. Techniquement et tactiquement c’était vide. Je ne vais pas faire genre mais j’espère qu’en deuxième période on fera mieux". Les mots de Younousse Sankharé sont durs à la mi-temps.

Au retour des vestiaires, le tempo s’accélère  mais les occasions se font toujours aussi rares. Laborde surprend Dupé par une frappe subtile, ça file près du poteau droit du portier canari (58e). Côté nantais, Nakoulma, buteur à cinq reprises lors des sept derniers matchs, pose problème à l’arrière garde girondine, obligé de se mettre à la faute sur l’attaquant burkinabé.

Le pressing bordelais au milieu de terrain paie enfin à l’heure de jeu. Sur une récupération de balle, Kamano remonte le cuir et décale Sankharé. L’ancien Lillois déclenche une frappe sèche du gauche qui trompe Dupé (65e, 0–1). La réponse des Canaris est immédiate. Pardo s’infiltre dans la surface bordelaise, dribble Carrasso mais voit la défense se refermer sur lui (66e).

Trop imprécis à l’approche de la surface bordelaise, Nantes ne parvient pas à revenir dans le match. Gourvennec apporte de la fraîcheur en faisant rentrer Plasil et Rolan. Laborde et Malcom poursuivent leurs efforts sur les phases offensives et défensives. Le Brésilien passe d’ailleurs tout proche du break sur un superbe numéro côté droit mais Dupé repousse sa frappe du gauche (88e).

L’essentiel est là pour les Girondins qui font une excellente opération en vue de la Ligue Europa.

L’homme du match : Younousse Sankharé

En difficulté en première mi-temps, entre déchet technique et mauvais choix, l’ancien Lillois a monté son niveau ensuite. Au niveau dans l’agressivité, il a ajouté de la justesse et de la projection utile. Preuve : son troisième but sur les cinq derniers matchs, après avoir participé avec Vada au pressing décisif sur Touré (65e). ll aurait pu réussir un doublé avec moins d’altruisme, choisissant la passe plutôt que la frappe en bonne position (70e). Il confirme le plus qu’il a apporté depuis son arrivée en janvier.

Les notes de la rédaction

6/10 Carrasso, Pallois, Lewczuk, Sankharé, Laborde, Kamano
5/10 Sabaly, Vada, Toulalan, Malcom
4/10 Gajic

Gourvennec : "C’était un gros match"

"C’était un gros match, on savait que ça allait être difficile. Nantes a un très bon niveau depuis janvier. L’enjeu pour nous était de répondre à l’intensité qu’ils mettent, au pressing qu’ils mettent, à l’impact qu’ils mettent, avec le ballon très vite chez l’adversaire et ils viennent en nombre et avec beaucoup d’intensité. On a su résister à ça, défendre intelligemment et, surtout sur la deuxième mi-temps, bonifier les phases de possession qu’on a eues".


Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Nantes et Bordeaux.


Source : dailymotion.com

jeudi 13 avril 2017

32ème Journée : Girondins de Bordeaux 3 - 0 Metz

Ligue 1 : Bordeaux réagit et se remet en confiance face à Metz
Bordeaux était dans l'obligation de gagner face à Metz et ils l'ont fait avec la manière........

Bordeaux renoue enfin avec la victoire.
Vada aura été l'artisan de cette victoire avec deux buts et une passe décisive.
Malcom a parachevé l’œuvre en inscrivant le troisième but.
Après l'élimination en coupe de France, on attendait la réaction de Bordeaux.
Les Girondins ont ainsi dominé Metz mais ont joué en dent de scie.
Ils ont notamment manqué le début de rencontre et ont levé un peu le pied après que le score ait été quasiment acquis.
Les Bordelais prennent seuls la 5ème place après le match nul de Marseille à Toulouse.


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Vainqueurs 3–0 grâce à des buts de Malcom et Vada, les Girondins ont montré qu’ils avaient bien digéré leur élimination en Coupe de France à Angers.

Un but en première mi-temps et deux au retour des vestiaires ont permis aux Girondins de se remettre en confiance face à Metz (3–0). Malgré un début de match raté et un relâchement compréhensible une fois que le succès était acquis, les hommes de Jocelyn Gourvennec ont montré qu’ils avaient de la ressource. Ils ont surtout montré qu’ils étaient plus à l’aise en mode "équipe type", avec Kamano, Laborde et Malcom en attaque, et Vada en soutien efficace (doublé pour l’Argentin).

Le match : 3–0

Comme encore sonné par les deux défaites concédées à Nice et Angers, Bordeaux se montre timoré pendant dix minutes ponctuées de deux cartons jaunes à Sankharé et Toulalan
Mais curieusement et donc contre le cours du jeu, les Girondins vont ouvrir le score. Vada décale Malcom sur le côté droit. Le Brésilien contrôle le ballon et se place sur son pied gauche pour battre le gardien messin (1–0, 14e).

Dès lors les Bordelais multiplient les occasions, notamment grâce à leur trident "KLM" (Kamano, Laborde, Malcom). Une magnifique frappe de Laborde oblige Didillon à se déployer pour repousser la tentative de l’avant-centre girondin d’une main ferme (17e). il y a aussi le joli travail de Kamano qui sert Vada entre les jambes de Diagne, mais le tir de l’Argentin est repoussé par le portier de Metz en corner (20e).il y a enfin une frappe enroulée de Kamano sur la transversale (27e) suivie d’un tir sur le poteau de Sabaly, dans un angle fermé alors que Malcom réclamait le ballon en retrait (28e).

Heureusement pour Bordeaux, les Messins ne sont pas plus en réussite avec les montants, comme en témoigne une frappe de Cohade sur la barre (30e).

C’est peu après la pause que les Girondins s’offrent un break définitif. Malcom est déséquilibré dans la surface de réparation messine et Vada transforme tranquillement le penalty (2–0, 50e). Puis Laborde récupère le cuir dans les pieds de Diagne et offre le but du doublé à Vada, dont le plat du pied plein de sang froid fait mouche (3–0, 52e).

Dès lors, les Bordelais relâchent leur étreinte, plus ou moins consciemment. A moins qu’ils souhaitent faire briller Carrasso, parfois livré à lui-même mais toujours impeccable dans ses duels avec les attaquants messins. Des Lorrains de toute façon décevants, à l’image de Cheick Diabaté, quasi-invisible pour son retour à Bordeaux.

Un ultime tir de Malcom sur le dessus de la transversale, un carton rouge au Lorrain Assou-Ekotto pour un coup de coude sur Ounas, et un coup franc non cadré de Rolan achèvent une partie somme toute tranquille pour les Girondins.

Les notes de la rédaction

7/10 : Carrasso, Vada, Malcom
6/10 : Sabaly, Lewczuk, Sankharé, Laborde, Kamano
5/10 : Pallois, Contento, Toulalan

L’homme du match : Valentin Vada

Auteur d’une passe décisive et de deux buts, dont le premier sur penalty, l’Argentin fut le grand artisan de la victoire bordelaise. Il offrit le premier but à Malcom sur une passe de Kamano (14e), tira victorieusement le penalty que Malcom avait obtenu (50e) et marqua le troisième, en profitant d’une passe précise de Laborde (52e). Il aurait pu marquer plus tôt, sur un petit pont de Kamano mais, dans un angle fermé, avait vu Diagne repousser son tir en corner. Laissé assez libre par la défense adverse, Valentin Vada assuma la conduite du jeu avec autorité pendant toute la partie. Il fut percutant, incisif, faisant oublier sa prestation quelconque de Nice.

L’anecdote

Jérémy Toulalan s’est ouvert le dessus du crâne dans un choc avec le Messin Mandjeck en première mi-temps. Le milieu de terrain bordelais en a été quitte pour porter un gros bandage tout autour de la tête jusqu’à la fin de la rencontre.

Mais ce qui a surpris, c’est qu’alors qu’il sortait du terrain pour se faire soigner, son partenaire Younousse Sankharé lui a arrosé la tête par derrière…
(il n'a certainement pas pensé quu'à cet endroit, c'est plus douloureux qu'autre chose.... M&J).

La déclaration

Cheick Diabaté (au micro de BeIN Sport): "Je veux que Metz se maintienne et que Bordeaux termine bien à une place européenne. Pour nous, c’est plus important de gagner contre Caen et Nancy qu’ici à Bordeaux".

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Metz.


Source : dailymotion.com

27ème Journée : Bourgoin 14 - 56 Stade Montois

Revivez Bourgoin - Mont-de-Marsan (14-56)
Le Stade Montois remporte une belle victoire à Bourgoin en empochant le point de bonus offensif..... 

Les Montois ont d'entrée imprimé le rythme du match en inscrivant trois essais de suite.
Une démonstration de force et de vitesse face à une équipe, qui, il est vrai, était déjà démobilisée depuis longtemps.
Mais les Landais ont fait le boulot, chez une équipe qui ne leur réussit pas souvent.
Une bagatelle de 8 essais inscrits par les Montois contre 2 pour les locaux, qui ont, au moins, sauvé l'honneur.
Victoire bonifiée importante qui permet aux Montois de prétendre aux trois premières places.


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Ce déplacement en Isère pouvait permettre aux Landais de monter sur le podium. En cas de victoire, les Montois se facilitaient grandement la route vers la qualification aux phases finales. Et Mont-de-Marsan n’a pas tremblé pour finalement s’imposer 14-56. Une victoire bonifiée avec 7 essais au compteur, des réalisations signées James, Mirande et Billou ainsi que deux doublés de Loustalot et Brethous. Lors de la prochaine journée, les Montois recevront Aurillac et Bourgoin ira à Oyonnax.Ce déplacement en Isère pouvait permettre aux Landais de monter sur le podium. En cas de victoire, les Montois se facilitaient grandement la route vers la qualification aux phases finales. Et Mont-de-Marsan n’a pas tremblé pour finalement s’imposer 14-56. Une victoire bonifiée avec 7 essais au compteur, des réalisations signées James, Mirande et Billou ainsi que deux doublés de Loustalot et Brethous. Lors de la prochaine journée, les Montois recevront Aurillac et Bourgoin ira à Oyonnax.

Article : lnr.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bourgoin et le Stade Montois.


Source : dailymotion.com 

1/4 de Finale CDF : Angers 2 - 1 Girondins de Bordeaux

Coupe de France : les Girondins sortis en quarts par Angers (2–1)  
Bordeaux a logiquement perdu à Angers et sort tête basse de la coupe de France........ 

Dominés dans les duels et dans la volonté, les Bordelais sont tombés en coupe de France.
Ce manque de réalisme et de maitrise cachent peut-être une volonté implicite de laisser cette coupe de France à Monaco ou Paris qui laisserait la 6ème place qualificative pour l'Europe ?!
Bordeaux s'est encore montré très fébrile défensivement et très maladroit devant les buts pour pouvoir l'emporter.
Dommage...


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Bordeaux, décevant dans l’état d’esprit, quitte la Coupe de France après sa défaite sans gloire à Angers mercredi soir.

La synthèse

L’aventure des Bordelais en Coupe de France s’est arrêtée en quarts de finale mercredi soir à Angers (1–2), où ils ont manqué d’idées, d’envie et de sérénité derrière. La qualification européenne passera forcément par le championnat et il faudra désormais espérer que Paris ou Monaco remporte la compétition.

Le résumé

On avait quitté les Girondins aussi convaincants que maladroits à Nice (1–2) en seconde période, on les a retrouvés sans inspiration mais un poil plus réalistes à Angers. Trop attentistes, pas assez spontanés, ils ont subi le cours des événements dès le coup d’envoi. Leur défense remaniée (Gajic et Pallois sur les côtés, Lewczuk et Jovanovic dans l’axe) s’est montrée fébrile et leur milieu dominé dans l’impact.

Le SCO a ainsi ouvert le score après un grand pont de 30 mètres de Pepe sur la droite, un centre au cordeau et une reprise victorieuse de Bérigaud à bout portant (1–0, 8e). Il aurait pu doubler la mise mais Carrasso a sorti deux arrêts de grande classe, face à Diedhiou (13e) puis Pavlovic (45e+1). Bordeaux n’a eu besoin que d’une seule occasion pour trouver la faille : Ounas servait sur un plateau Sankharé qui trompait Letellier (1–1, 18e).

Les Girondins, pas requinqués par leur passage au vestiaire et toujours un ton en-dessous dans l’envie, ont une nouvelle fois pu compter sur Carrasso devant Diedhiou (61e) mais le portier cédait quelques minutes plus tard sur une frappe pourtant pas foudroyante de Ndoye (67e, 2–1). Gourvennec avait modifié l’intégralité de sa ligne d’attaque par rapport à dimanche soir, sans réussite. À la 70e, Laborde, Malcom et Kamano étaient de nouveau sur le terrain et Bordeaux a repris quelques pâles couleurs.

Le Guinéen était à l’origine de deux grosses occasions pour Rolan (74e) puis Malcom et surtout Pallois (80e). Mais incapables d’emballer la fin de match, les Bordelais sont passés tout près d’encaisser un troisième but dans le temps additionnel. Triste clap de fin.

Un homme dans match

Dans la situation particulière de sa fin de contrat et du débat sur une prolongation, Cédric Carrasso se sait encore un peu plus scruté que d’habitude. Le portier a (re)montré  que l’incertitude ne le perturbait pas. Derrière une défense en grosse difficulté à l’image de Jovanovic, le Provençal a maintenu les siens à flot avec des arrêts à bout portant devant Dhiediou (13e), Ndoye (61e) et en détournant au pied de son poteau une tête de Pavlovic (45e). Mais il n’a pas eu la main assez ferme sur la frappe victorieuse de Ndoye. Le bémol d’une prestation terminée par une claquette sur un tir de Bamba dans les arrêts de jeu.

Les notes du match

6/10 : Carrasso
5/10 : Lewczuk, Ounas, Sankharé, Toulalan
4/10 : Pallois, Gajic, Rolan
3/10 : Menez, Jovanovic, Plasil

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Angers et Bordeaux.


Source : dailymotion.com

31ème Journée : Nice 2 - 1 Girondins de Bordeaux

Ligue 1 : défaite rageante pour les Girondins à Nice (2–1)
Les Bordelais peuvent avoir des regrets car Nice était vraiment prenable ce soir là.....


Bordeaux, trop timoré en première période, puis dominateur mais terriblement maladroit en seconde, concède à Nice sa troisième défaite de 2017.

 

La synthèse

Que de regrets pour les Girondins ! Malgré une superbe seconde période et un wagon d’occasions nettes, ils se sont inclinés à Nice dimanche (2–1), plombés par une première période où ils se sont montrés trop timorés. Après cette soirée terriblement frustrante, ils restent sixièmes au classement mais leur calendrier à venir est plutôt favorable : réceptions de Metz et Bastia, déplacements à Nantes et Dijon. Ces fois-ci, il sera interdit de gâcher autant.

Le résumé

Les matchs nuls de l’OM face à Dijon et de Lyon à Rennes (1–1 dans les deux cas) avaient libéré un boulevard aux Girondins pour réaliser la bonne opération du week-end dans ce sprint final vers les places européennes. En s’inclinant à Nice ce dimanche soir, ils ont finalement perdu un point par rapport à ces deux équipes. Ce revers confirme leur habitude de 2017 : ils ne perdent que face aux "gros" du championnat.

Le magnifique but de Laborde (9e, voir ci-dessous) a un – court – temps validé leur stratégie consistant, comme souvent, à jouer bas et exploiter toutes les possibilités de contre. Mais Bordeaux a surtout couru après le ballon et a manqué d’air et de justesse technique au moment de relancer depuis ses 30 mètres. Et quand il a obtenu des coups de pied arrêtés, Vada les a gâchés les uns après les autres.

Le jeune Argentin a connu une première période cauchemardesque : son ballon perdu à l’entrée de sa surface a fini dans les pieds de Balotelli puis d’Esseyric, qui a expédié une frappe violente dans le petit filet de Carrasso (27e). Il a ensuite buté sur Cardinale quasiment à bout portant (36e). Entre temps, Balotelli avait transformé un penalty généreusement accordé par M. Bastien pour une faute de Toulalan sur Souquet (16e).

Les Bordelais sont revenus du vestiaire dans un tout autre état d’esprit : ils ont étouffé Nice avec un bloc plus haut et disposé en 4–1–3–2 au moment de déclencher le pressing sur une défense locale bien fébrile. Les situations dangereuses se sont multipliées et Kamano, encore une fois très actif, en a manqué deux immenses (56e, 66e). Les entrants Rolan et Ounas, eux aussi en excellente position, n’ont pas été plus heureux (75e, 80e, 82e). Rageant, c’est bien le mot.

Le fait : le superbe but de Laborde

Gaëtan Laborde n’a pas seulement ouvert le score à la neuvième minute, il a aussi marqué l’un des plus beaux buts de la saison girondine. Après un magnifique mouvement collectif des Bordelais, Dante manque un contrôle. Laborde en profite et, à l’intérieur de la surface, enchaîne deux grands ponts sur Lemarchand puis sur le défenseur brésilien avant de battre Cardinale. Magnifique.

Les notes :

6/10 : Carrasso, Laborde
5/10 : Lewczuk, Sabaly
4/10 :  Jovanovic, Contento, Vada, Toulalan, Sankharé, Malcom, Kamano

Article : sudouest.fr 

Résumé en images de la rencontre entre Nice et Bordeaux.


Source : dailymotion.com

26ème Journée : Stade Montois 37 - 6 Narbonne

Stade Montois : un bonus miraculeux
Le match a eu du mal à démarrer mais les Montois ont assuré l'essentiel avec une victoire bonifiée.....

Victoire bonifiée pour les Montois qui fait du bien...
Les Montois ont de suite pris les commandes pour ne plus rien lâcher.
Narbonne, acculé et dépassé n'a pas fait longtemps illusion face à la furia Montoise.
Après cette défaite à Angoulême qui a fait mal dans les têtes, il fallait vite engranger une victoire pour ne pas gamberger.
C'est chose faite face à Narbonne qui a été la victime expiatoire...
Une victoire qui relance les Montois dans la course pour les 3 premières places.


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Excellente opération comptable des Montois qui signent un succès bonifié contre Narbonne (37–6) malgré une prestation bien loin de lever les doutes apparus depuis quelques semaines.

Encore une fois vainqueurs à domicile, provisoirement deuxièmes du classement, les Montois filent tout droit vers une qualification en demi-finale. Mais pour y faire quoi ? C’est la question que l’on posera bientôt s’ils n’élèvent pas sensiblement leur niveau dans les semaines qui viennent.

Loin de rassurer après deux sorties ratées (court succès contre Béziers, défaite à Angoulême), ils ont, au contraire, soulevé de nouvelles interrogations hier, malgré la victoire (37–6) et le bonus offensif, pour le moins heureux.

Comment expliquer une telle première période par exemple ? Les jaune et noir l’ont bien conclue en tête, grâce à deux essais qui doivent beaucoup à la classe duo Laborde/Laousse-Azpiazu. Mais ce sont deux arbres venus cacher une forêt de médiocrité. Par où commencer ? Peut-être par cette guirlande de munitions égarées en touche, le pauvre Ngauamo vivant un véritable calvaire au lancer… Ou par cette mêlée plusieurs fois chahutée, sans oublier les en-avants et les passes dans le mauvais tempo.

Pire, sur deux timides incursions, les Narbonnais ont même trouvé le moyen de mettre deux fois les locaux à la faute pour inscrire six points. Symptomatique d’une équipe montoise en manque de confiance, malgré son classement confortable.

Brouillon
Heureusement, Laborde avait rapidement conclu en bout de ligne une action initiée par Loustalot suite à un ballon porté efficace (5–0,10e). La récompense d’une entame rythmée qui n’aura été qu’un pétard mouillé. On l’a dit, le tout vira ensuite au brouillon, avant que le jeune Montois ne signe un exploit sur son aile avec une percée magistrale, ponctuée d’un raffut pour servir sur un plateau Laousse-Azpiazu (15–6). Le genre d’action qui vous transcende une équipe. Mais pas le Stade Montois d’hier soir.

Face à des Audois pourtant bien faibles, les Stadistes ont en effet continué à bafouiller leur rugby en seconde période. Jusqu’à une fin de match un peu folle. Laousse-Azpiazu s’offrait d’abord un doublé grâce à un contre rondement mené par James et Gerber (67e). Mené 6–23, Narbonne lâchait alors complètement, encaissant deux autres essais coup sur coup : le premier de pénalité pour avoir écroulé un ballon porté près de la ligne, le second sur une charge au ras de Gorgadze.

37–6 et bonus offensif, c’est inespéré mais ça pourrait compter. Autant au classement que pour permettre aux Montois de retrouver la confiance dont ils auront besoin pour vivre une fin de saison conforme à leurs ambitions.

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre le Stade Montois et Narbonne.


Source : dailymotion.com

lundi 27 mars 2017

25ème Journée : Soyaux-Angoulême 30 - 20 Stade Montois

Rugby - Pro D2 : le SAXV se défait du Stade Montois
Après la trêve, les Montois tombent à Angoulême et se compliquent la tâche pour la qualification

Malgré un arbitrage maison, et des Angoumoisins qui ont déclenché une belle bagarre générale (se sentant en danger), les Montois étaient sur les talons des locaux à deux minutes de la fin (25-20).
Mais cette longue passe d'Ormaechea, interceptée par Angoulême, a eu raison des espoirs Landais.
Un essai assassin qui fait mal.
Cette défaite est dure à encaisser, aucun point de pris en Charente.
Un beau traquenard à Angoulême qui peut faire mal dans les têtes !!!!!
Il va falloir se remobiliser si on ne veut pas avoir la place du c....


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Immatures et fébriles, les Montois ont perdu pied face à un promu transcendé (30–20).

Vendredi soir au stade Chanzy, le taulier était charentais. Sang-froid, maîtrise, et abnégation, furent au centre de la performance angoumoisine, face à des Montois trop friables sur le plan mental pour ne pas rentrer bredouilles (30–20).

Conséquence : les Landais voient la première place s’éloigner. Et la concurrence revenir sur leurs talons, à l’issue d’un match au scénario épique, ponctué de cinq essais et six cartons. Parmi eux, trois rouges, fruits d’une « générale » qui fera date, écopés à la 73e par Malafosse et Rameau, côté montois, et par l’Angoumoisin Bolakoro. Le tournant du match, alors qu’au bénéfice d’une double supériorité numérique, les Jaune et Noir venaient de revenir sur les talons de leurs hôtes (22–20).

« C’est dramatique »

Un manque de maturité indigne d’un prétendant à la montée, selon l’entraîneur landais David Auradou. « On tombe dans l’indiscipline, dans des fautes de cadet, et nous sortons complètement de notre match. Sur ce genre de rencontre, il faut grandir mentalement. Il faut être capable de ne pas répondre à la provocation. On doit prendre 20 pénalités, c’est dramatique, alors que d’habitude, la discipline fait plutôt notre force. On ne peut pas parler de rugby tellement on a été mauvais sur cette base. »

D’autant que la démonstration de force du pack montois, à l’issue d’une première période où il s’était fait rouler dessus (11–6), laissait augurer d’une tout autre issue. « Nous revenons dans le coup en nous appuyant sur des choses simples et saines, comme notre conquête (avec un essai inscrit suite un ballon-porté sur 25 m, NDLR), et puis on dégoupille. » Avec dans le rôle de la grenade, l’ex-Angoumoisin Dan Malafosse, coupable d’un placage haut à l’origine des trois expulsions, après avoir été préalablement averti. « Dan est un jeune joueur qui a mal abordé son match. Il commet deux énormes fautes, le carton est justifié. Il pénalise l’équipe, il se pénalise lui-même. Je ne vais pas tirer à boulet rouge sur lui, sachant ce qu’il nous a apporté sur la saison. Mais c’est clair qu’aujourd’hui, il a été submergé par l’événement. Après, on ne peut pas demander à un joueur de 23 ans d’avoir la maturité d’un trentenaire. »

Un déficit qui justement, sépare sans doute les Montois de ce qu’il se fait de mieux en Pro D2.

Article et photo : sudouest.fr

Résumé de la rencontre entre Angoulême et Bordeaux.


Source : dailymotion.com 

30ème Journée : Girondins de Bordeaux 5 - 1 Montpellier

Bordeaux – Montpellier : le superbe cadeau d’adieu
Les Girondins ont été très réalistes et ont infligé une lourde défaite à Montpellier.....

Bordeaux a fait preuve de réalisme et a infligé une lourde défaite à Montpellier.
Rolan, à la pointe de l'attaque s'est montré à son avantage en marquant un doublé.
Vada sur pénalty, Sankharé et Malcom ont parachevé cette belle victoire.
Un bel hommage a été rendu à Jean-Louis Triaud qui a quitté la présidence après avoir donné 21 années à Bordeaux. Les Girondins avec des fortunes diverses se sont toujours battus pour remporter un titre et être européens. Pour tout ça, merci Monsieur Triaud !!!!!!


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Les Girondins ont offert à Jean-Louis Triaud, leur ancien président, célébré par le virage sud, une magnifique victoire (5–1), facilitée par les erreurs de la défense adverse.

On ne sait quelle place tiendra dans le cœur de Jean-Louis Triaud cette soirée, qu’il acheva hier au milieu du virage sud en liesse, scandant son nom aux étoiles. Ce sera l’une des plus émouvantes de sa carrière, par l’hommage qui lui fut rendu, par la belle victoire que lui ont offert ceux qu’il dirigeait encore il y a peu. Les Girondins, battus 4–0 à l’aller, ont effet rendu la monnaie de leur pièce aux Montpelliérains, en s’imposant 5–1 d’une façon étourdissante.

Les deux présidents, l’ancien et le nouveau, assis côte à côte dans un passage de témoin symbolique, ont savouré ensemble ce succès à l’ampleur inattendue, qui s’est joué en sept minutes en première période. Bordeaux a donc repris hier soir le cours de sa belle aventure 2017, riche de 21 points, ce qui, Monaco et Paris mis à part, est mieux que toute autre équipe de Ligue 1. Voilà l’équipe revenue à la hauteur de Marseille et prête à en découdre pour la 5e place.

Montpellier s’est sabordé

Ce match, les hommes de Gourvennec l’ont gagné d’une façon qui ressemblait à un sabordage montpelliérain, avec Hilton dans le mauvais rôle, accusant subitement le poids des ans. Le Brésilien (39 ans) se trouva impliqué dans les trois buts encaissés par son équipe en première période. Sur le premier, il se fit prendre de vitesse par Rolan (25e). Sur le deuxième, son intervention se transforma en passe décisive pour Sankharé (30e). Sur le troisième, il commit la faute de main qui permit à Vada de marquer le penalty (32e).

Ainsi, en sept minutes, les Girondins avaient exécuté puis enfoncé une équipe de Montpellier abasourdie, qui se demandait ce qu’il lui arrivait dans cette partie qu’elle avait pourtant abordée avec du cœur et de l’allant. Les hommes de Jean-Louis Gasset, dominateurs au milieu du terrain, avaient imposé leur loi à des Bordelais trop peu efficaces à la récupération, trop maladroits dans leur jeu. Ils avaient produit un football pimpant, limpide et inspiré.

Carrasso et ses camarades avaient décidément la chance avec eux, puisque même le but que Skhiri inscrivit à la 37e d’une tête plongeante, fut annulé pour un hors-jeu inexistant.

Le talent de Rolan

Mais il faut croire que la chance, cela se provoque, surtout sur les contres. Dans les duels d’homme à homme, Diego Rolan n’a pas beaucoup d’équivalent. Il se joua de Pionnier de la même manière qu’il avait disposé de Vercoutre (Caen) et Subasic (Monaco). L’Uruguayen va vite, et la répétition des buts ne peut pas être due qu’à la seule chance.

« On a eu le mérite d’exploiter les erreurs adverses », lança Gourvennec après la rencontre. « On pèse offensivement, sinon nos adversaires n’auraient pas modifié leur dispositif alors qu’ils ont le même depuis longtemps. Ils se sont adaptés. Mais nous avons réussi nous aussi à nous adapter. On a joué dans leur dos alors qu’ils voulaient nous contenir. »

Les deux buts marqués en deuxième période, eux, ne devaient rien au hasard mais tout au talent de Sabaly et Ounas, centreurs percutants, à l’efficacité redoutable de Rolan et Malcom, les buteurs inspirés. « On a été très efficace en faisant mal sur nos points forts actuels », dit le coach breton. « Après, le score peut paraître sévère car Montpellier nous a posé des problèmes. Mais en même temps, on a su appuyer et être très efficace. »

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Montpellier.


Article : dailymotion.com

mardi 14 mars 2017

29ème Journée : Monaco 2 - 1 Girondins de Bordeaux

Monaco – Girondins : le plan a failli marcher
Bordeaux a été trop timoré pour pouvoir ramener des points de Monaco......

Après la bonne opération comptable face à Lyon à domicile, Bordeaux se déplaçait à Monaco samedi après-midi. On assiste dès le début du match, à deux équipes qui ont envie de mettre du rythme, et qui se projettent vers l'avant. En première période, côté bordelais, le milieu de terrain récupère beaucoup de ballons, et on passe beaucoup par le côté gauche. Le bloc bordelais est plutôt bien en place. Défensivement, on est solide à l'image de Lewczuk, mais les interventions ne sont par moments pas très rassurantes, notamment sur un corner qui aurait pu faire mouche dans les premières minutes. Offensivement, on essaye de se projeter, et d'inquiéter les monégasques, mais on est trop inefficace pour espérer remporter les trois points contre une équipe comme Monaco. En deuxième période, le rouleau compresseur monégasque se met en marche et devient inarrêtable. On n'a pas le ballon, et à force d'approximations dans les interventions défensives, et de coups de pieds arrêtés terribles, on se fait punir par Monaco. Bon match de Contento, Gajic, Kamano, Plasil et Sankharé. Il ne nous reste plus qu'à gagner le week-end prochain pour rester dans la course pour l'Europe. Le plus dur est passé, maintenant on a plus le droit à l'erreur.

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Bloquant bien les côtés, denses dans l’axe, les Girondins ont appliqué leur plan et contrarié le leader pendant plus d’une heure. Il leur aura manqué la justesse sur les contres.

 

Alors bien sûr, ce n’était pas le match du siècle. Mais le stade Louis-II en a vu tellement, cette saison, des rencontres spectaculaires, que ça ressemblait déjà à une première réussite pour les Girondins. En tribunes, le public commençait à s’impatienter et les observateurs avaient sorti leurs archives pour noter que Monaco n’était jamais resté aussi longtemps sans marquer à domicile cette saison en L1. Et puis il y a eu un coup de pied arrêté, encore, un cafouillage et le duo Falcao – Mbappé (18 ans et 7 buts sur les 6 derniers matches) a sanctionné sans coup férir (68e).
« Ils sont efficaces, ont aussi la réussite avec eux. Ils la provoquent aussi », notait le gardien bordelais Cédric Carrasso, anticipant du mauvais côté sur le coup. « On savait qu’on devrait faire un match sans erreur. Ils peuvent gagner dans la difficulté grâce à leur talent. Là, ça s’est débloqué sur un ballon qui traîne », regrettait son entraîneur Jocelyn Gourvennec, un poil frustré de la défaite chez un leader qui poursuit sa marche en avant.

Des côtés bien bloqués

Face à un Monaco qui avait aligné une équipe quasi-type à quatre jours du 8e de finale retour de Ligue des champions contre Manchester City, les Bordelais ont pourtant failli réussir leur coup. Après les lourds revers contre le Paris SG (1–4, 0–3) et en décembre face à Monaco (0–4) en choisissant d’aller de l’avant, Jocelyn Gourvennec avait cette fois-ci mis l’accent sur le blocage des côtés en invitant ses latéraux à rester bas et ses ailiers à ne pas lâcher Sidibé et Mendy. En l’absence de Jérémy Toulalan, Younousse Sankharé avait été préféré à Mauro Arambarri pour venir cueillir les recentrages de Lemar et Silva. Ils l’ont plutôt bien fait, à l’image d’une équipe très appliquée tactiquement et dans les compensations et d’un axe central Lewczuk – Pallois ne lâchant rien à la paire Mbappé – Germain.

« Contre eux, toutes les équipes se sont faits piéger sur des transitions rapides quand elles attaquaient. On voulait éviter cela et on l’a plutôt bien géré », expliquait Jocelyn Gourvennec. « On voulait les faire s’impatienter pour les obliger à pousser et laisser des espaces », complétait Carrasso.
Cela a failli marcher, oui, mais pour réussir jusqu’au bout, ses hommes auraient dû aussi mieux gérer les situations de contres. Younousse Sankharé a beaucoup récupéré (22 ballons). Mais il a manqué aussi de précision dans la transition et, dans ce rôle, manque tout court aux siens dans la projection. Ne concédant que de vagues occasions en première période, Jaroslav Plasil et ses coéquipiers n’auront pas été assez tranchants (frappes de Malcom et du Tchèque au-dessus, tête de Laborde à côté) pour faire douter Monaco. Et à force de rendre trop vite le ballon, ils ont même de plus en plus subi, jusqu’à l’irréparable. « On n’a pas été assez pertinent dans les choix, dans les dribbles dans leur moitié de terrain », résumait Gourvennec.

Marseille repasse devant

Le deuxième but (74e), après un double manque d’agressivité de Contento puis Sankharé, est lui arrivé trop vite pour que le coaching et la bourde de Subasic, contré par Rolan (2–1, 84e), changent la donne. Une victoire à Monaco n’était bien sûr pas au tableau de marche. Mais les Girondins, qui n’auront donc pris aucun de point au duo de tête cette saison, laissent du même coup leur 5e place au rival marseillais. « On est focalisé sur nous. On a vu ce soir que les gars ont appris, ont gagné dans la concentration », notait Carrasso. « On a de la discipline collective, on sait aussi qu’on a du talent. Ça nous pousse à persévérer », dit Gourvennec. À ses hommes, ralentis par Lyon (1–1) et l’ASM, de reprendre samedi contre Montpellier leurs bonnes habitudes de 2017 face au commun de la L1.

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Monaco et Bordeaux.


Source : dailymotion.com

24ème Journée : Stade Montois 15 - 9 Béziers

Les Montois rescapés du guêpier
Les Montois l'ont emporté de justesse face à une rugueuse équipe de Béziers......

Match très défensif sur la pelouse de Guy Boniface ! Mais le Stade Montois s'est défait d'une équipe coriace, Béziers, et l'emporte 15-9. Grâce au pied de James (une fois n'est pas coutume, 5/6), les Montois ont gagné ce match piège. En effet, les Landais se sont cassés les dents sur une défense biterroise acharnée, et toujours plus que limite. Pas d'essai donc, puisque les Landais se sont cassés les dents sur la très bonne défense biterroise. Mais les fautes répétées de Béziers, jamais sanctionnées d'un carton jaune, auront finalement eu raison de leur indiscipline. Béziers était venu pour pourrir le ballon et tout faire pour faire dégoupiller les Montois. Heureusement ces derniers ne sont pas tombés dans le piège et ont attendu patiemment. Ils n'ont cessé de pilonner la défense des Héraultais qui, ont fini par craquer, tant les fautes devenaient grossières. Malgré une dernière pénalité manquée qui aurait pu leur donner le point de bonus défensif, Béziers repart bredouille des Landes. Le Stade Montois se contente du principal, une victoire qui le conforte dans les 5 premiers.

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Incapables de se défaire d’une bonne défense biterroise, les Stadistes ont pu compter sur le pied de James pour sortir de l’ornière vendredi soir (15–9). Précieux pour la suite.

« Pour l’instant on n’a réussi aucun exploit », rappelait Baptiste Chedal-Bornu après le succès contre Vannes la semaine dernière. C’est vrai. Une série de succès à domicile (un échec contre Agen) ou contre des équipes de bas de tableau à l’extérieur : le parcours des Montois n’incite pas à sauter au plafond, ni à crier au génie. Leur saison est finalement à l’image de leur succès d’hier contre Béziers, sur une marge infime (15–9).

Seulement il faut leur reconnaître un mérite : celui de réussir à déjouer tous les pièges grossiers qui se présentent sur leur route. Dans cette Pro D2 complètement folle, où les obstacles ne manquent pas, c’est déjà beaucoup. Il va leur permettre de passer la trêve dans le wagon des qualifiables, quatrièmes avec une marge appréciable sur le sixième, si Montauban s’incline à Montauban dimanche. Idéal, avant l’emballage final qui se profile.

Cela dit, la coupure d’une semaine ne devrait pas faire de mal aux hommes du duo Laussucq/Auradou. Face à des Biterrois privés de munitions par leurs difficultés en touche et en mêlée, ils auraient ainsi dû vivre une première période beaucoup plus sereine hier.

Imprécisions
Seulement, après la rapide ouverture du score signée James (3e), ils ont multiplié mauvaises passes et imprécisions, à l’image d’un Billou brouillon derrière sa mêlée. Insuffisant pour déstabiliser une défense agressive et parfaitement organisée, sur laquelle les Biterrois purent s’appuyer pour sortir la tête de l’eau au fil d’un premier acte joué au petit trot. À ce sujet, les multiples blessures dans les deux camps (trois côté Béziers !) n’arrangèrent rien, et surtout pas côté montois, où James fut contraint de glisser à l’arrière après la sortie de Laousse-Azpiazu (hanche). Après 35 minutes sans point, Munro égalisa donc presque logiquement. En un mot, ça sentait le match piège, et c’en était bien un.

Comme souvent cette saison, les Montois misèrent alors sur leurs avants pour sortir de l’ornière. Bien vu, tant leur domination sur les ballons portés était évidente. Mais Béziers résistait, et comme chaque ballon éjecté finissait inlassablement en faute de main côté stadiste, passait même devant grâce au pied de Munro (6–9, 57e).

Sans imagination, contrés en puissance autour des rucks, les Montois étaient clairement en danger. Heureusement, Matthew James a les nerfs solides cette saison face aux perches. Il l’a confirmé hier, ramenant d’abord les siens à hauteur (9–9,60e). Puis en leur assurant un succès étriqué, grâce à deux derniers coups de pied : sur une erreur grossière (pour ne pas dire professionnelle) d’un Biterrois, qui gardait un ballon au sol devant ses 22 mètres d’abord, puis sur un bel effort de sa mêlée. Le piège était déjoué, et c’était bien là l’essentiel.

Article : sudouest.fr

La parole était à la défense ! Dans cette rencontre qui opposait deux équipes en forme, Mont-de-Marsan a arraché la victoire 15-9 face à Béziers. Les Montois doivent ce succès à la botte de James, auteur d'un 5/6 au pied. Pas d'essai donc, puisque les Landais se sont cassés les dents sur la très bonne défense biterroise. Avec notamment Best et Barrère en grande forme. Mais au final, l'indiscipline a fait la différence. Surtout que les Héraultais ont gâché de nombreuses occasions en raison de maladresses. Au final, les Biterrois repartent bredouilles mais avec au moins 4 blessés. Battye, Suchier, Phalip, Barrère ont notamment dû quitter la pelouse prématurément. Les Montois assure l'essentiel de leur côté et peuvent toujours regarder vers le haut.  

Résumé : rugbyrama.fr

Pour Mont-de-Marsan, solide 4e du classement, la venue de Béziers pouvait propulser les Landais en haut de l’affiche. Très performants sur cette deuxième partie de saison, les Montois voulaient confirmer leur bonne santé actuelle et commencer à assurer leur place dans le dernier carré du championnat. Béziers qui va mieux en 2017, souhaitait continuer sa lente mais maitrisée ascension au classement. Et c’est une vraie bataille qui s’est livrée sur la pelouse du stade Guy-Boniface, aucun n’essai n’a été inscrit mais les Landais ont finalement pris l’avantage grâce à leur buteur. En effet dans son duel face à Munro, James a passé 2 pénalités de plus pour une victoire finale 15-9. Au menu du prochain match, c’est un déplacement à Soyaux Angoulême qui attend les Montois et Béziers recevra Colomiers. 

Résumé : lnr.fr 

Résumé en images de la rencontre entre le Stade Montois et Béziers.


Source : dailymotion.com

mardi 7 mars 2017

28ème Journée : Girondins de Bordeaux 1 - 1 Lyon

Girondins : Vada y a cru
Bordeaux aurait peut-être mérité mieux mais a manqué de réalisme pour gagner..............

Bordeaux avait bien commencé le match en marquant le premier but par Vada (16'), à la limite du hors-jeu (1-0)
Mais l'arbitre n'a pas sifflé un pénalty flagrant sur Malcom juste avant la mi-temps, lui donnant même un carton jaune pour simulation (39').
En seconde période, Bordeaux laisse le ballon aux Lyonnais mais tiennent défensivement.
Mais à dis minutes de la fin, l'arbitre accorde un coup franc généreux côté droit.
Valbuena, le girondin d'origine, centre et trouve la tête de Mammana qui égalise pour Lyon.
Dans les arrêts de jeu, Bordeaux aurait pu marquer le but de la victoire mais ont manqué de chance sur les deux frappes de Kamano contrées par Rafael.
Bordelais et Lyonnais se quittent sur un match nul qui finalement reflète la partie.
Les Girondins grâce à ce point gardent toujours la 5ème place au classement.


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Les Girondins ont ouvert le score par Vada mais se sont fait rejoindre à la fin d’un match d’un bon niveau au stade Matmut Atlantique

 

Entre deux attaques en forme, un score nul ne pouvait satisfaire ni les uns ni les autres. D’ailleurs, en 27 journées, les Lyonnais n’avaient partagé les points qu’une seule fois jusque là. Alors ce 1–1 ressemble à un petit événement. Il permet à l’OL de conserver quatre points d’avance sur des Girondins qui s’étaient mis au niveau d’un huitième de finaliste de la Ligue Europa.

Le match : 1–1

Une frappe non cadrée de Lacazette dans un angle fermé (10e) sert d’avertissement sans frais aux Girondins. Sans frais, car c’est Bordeaux qui ouvre la marque par Vada, trouvé dans la profondeur par Kamano, dans le dos de la défense de l’OL. La frappe à ras de terre du jeune Argentin trompe Lopes, M. Schneider ne voit pas le hors-jeu et accorde le but pour les Girondins (1–0, 16e).

Juste avant la demi-heure de jeu, il faut un arrêt réflexe de Carrasso sur une lourde frappe du pied gauche et à bout portant de Memphis, qui s’est joué de Gajic et Jovanovic (28e), pour empêcher l’égalisation lyonnaise.

Sous une pluie continue, les deux équipes font jeu égal, et plutôt avec brio. Mais l’arbitre, lui, marche sur les traces de Bruno Derrien, dont la carrière avait pâti de plusieurs mauvais choix lors d’un mémorable Bordeaux-Lyon en 2005. Après le but non valable, Franck Schneider se signale en oubliant de siffler un penalty pour les Girondins après une faute de Diakhaby sur Malcolm dans la surface lyonnaise. Pire, l’homme au sifflet y a vu une simulation et a sorti le carton jaune à l’encontre de l’attaquant brésilien (38e).

Sérieux, les Bordelais montrent l’étendue de leurs progrès défensifs après le repos. Les Rhodaniens ne parviennent plus à inquiéter Carrasso, bien protégé par sa muraille bleu marine, à l’image d’un Pallois redevenu impérial. De l’autre côté du terrain, le trident Malcom-Laborde-Kamano continue d’appuyer sur l’accélérateur. Sur un bon service de Malcom, Laborde élimine Mammana d’un crochet mais trouve Lopes sur la trajectoire de son tir (69e).

Sauf qu’à force de laisser les Lyonnais dominer, les Girondins fatiguent. La rencontre de mardi, face à Lorient en Coupe de France, commence à peser sur les organismes. Et Kamano commet la faute de trop. Le coup-franc qui suit, parfaitement botté de la droite par Valbuena, est repris de la tête par Mammana, oublié au deuxième poteau (1–1, 79e).

Alors que les esprits s’échauffent, Bordeaux se voit offrir le but du KO, grâce à un impeccable service de Ménez à destination de Laborde, lequel a laissé le ballon filer sous ses jambes vers Malcom. Mais Rafael sauve les siens (90e+2).

Pas de victoire pour les Girondins, certes, mais une belle impression générale. Et devant 30 000 spectateurs au stade Matmut Atlantique, c’est déjà pas mal.

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Lyon.


Source : dailymotion.com

23ème Journée : Stade Montois 33 - 3 Vannes

Pro D2 : le compte est bon pour Mont-de-Marsan
Le Stade Montois a remporté une victoire bonifiée qui fait du bien au classement........

Un chapeau de cérémonie, orné de fleurs, avec un voile émaillé noirs, coiffé par une supportrice Montoise, augurait de la soirée passée par les Bretons de Vannes.
Une soirée, noire, à subir et sans véritable réaction.
Les Montois devaient remporter cette rencontre après le retour sans point à Oyonnax.
Sous une pluie battante et une température basse, les Landais qui n'aiment pourtant pas jouer sous ses conditions s'y sont employés.
Et même, ont ravi leur public.
Deux essais en première période par N'gauamo (29') et Cabannes (33') et deux essais en seconde par Billou (47') et Laborde (69').
Une rencontre pleine malgré les bourrasques...
Le Stade Montois retrouve une place dans les cinq premiers en se classant 4ème à 5pts de Oyonnax, le leader.


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C'était un duel des extrêmes qui s'annonçait dans les Landes, et malgré une belle résistance du promu vannetais, la hiérarchie aura été respectée. Pourtant, durant le premier acte, les Bretons, sans complexes ont longtemps posé des problèmes à leurs hôtes, sans véritablement trouver de solutions, jusqu'à la demi heure de jeu et le carton de Julien Côme pour Vannes, véritable tournant du match. Dans le sillage d'un Matthew James très juste, les Montois inscrivaient deux essais avant la pause pour mettre un coup de massue à leur adversaire. Puis pour tuer le match avec un nouvel essai dès l'entame du deuxième acte. Victoire logique de Landais solides qui réintègrent ainsi le wagon des qualifiables. Pour Vannes, le maintien se jouera jusqu'au bout, mais les Morbihanais sont prêts, et ont les qualités pour atteindre leur objectif.

Article : sudouest.fr 


Résumé en images de la rencontre entre le Stade Montois et Vannes.




Source : dailymotion.com

8ème de finale CDF : Girondins de Bordeaux 2 - 1 Lorient

Coupe de France : les Girondins refont le même coup qu’à Lille
Bordeaux renverse encore la vapeur face à Lorient et se qualifie pour les 1/4 de finale.......... 

Les Bordelais, en grande forme depuis ce début d'année 2017, où ils ne sont tombés que face à Paris, ont dû s'employer pour vaincre Lorient 2-1.
Bien que le dernier de Ligue1 reste sur trois défaites consécutives en championnat et a déjà un pied en ligue2.
Lorient a marqué en premier, par une réalisation de Benjamin Jeannot, avant que Gaëtan Laborde, auteur d'un doublé, ne renverse la vapeur pour Bordeaux.
En quart de finale, les Girondins se déplaceront à Angers.


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Les Girondins sont venus à bout de Lorient (2–1) mardi soir au Matmut Atlantique, portés par un Gaëtan Laborde de gala.

 

Bordeaux, sur une belle dynamique en 2017 et porté une nouvelle fois par Gaëtan Laborde, a gardé le rythme en Coupe de France pour venir à bout de Lorient (2–1) et atteindre les quarts de finale, mardi soir, à domicile.

Les Girondins, qui souhaitaient une qualification sans passer par la prolongation ni l’éventuelle épreuve des tirs au but, ont ainsi parfaitement préparé le choc de leur semaine, contre Lyon, vendredi dans cette même enceinte, qui résonnera surement moins creux pour l’occasion. La lanterne rouge bretonne de la L1, qui restait sur trois matches sans but inscrit, a retrouvé le chemin des filets, en premier, par Benjamain Jeannot (47), mais cela n’a pas suffi face à ces Bordelais emmenés par un Laborde de gala.

Véritable homme de Coupes, le Landais – déjà décisif au tour précédent contre Dijon (2–1) – s’est offert un doublé, comme il l’avait fait deux fois dans le parcours girondin en Coupe de la Ligue, contre Nice et Guingamp. Gros travailleur, présent dans le harcèlement, il s’est mué d’abord en renard des surfaces pour reprendre une frappe de Jérémy Ménez sur le poteau et égaliser (61). Puis, lui qui négocie actuellement une prolongation de contrat avec son club formateur, a fait étalage de son toucher avec un piqué superbe pour le but de la victoire (72).

Menez décisif

On ne peut dissocier de ses deux réalisations Jérémy Ménez, souvent sur courant alternatif, mais décisif sur ces deux actions avec une passe dans le tempo, digne de Javier Pastore, sur le deuxième but. Il fallait au moins ça pour reprendre la main dans ce match indécis, avec des gardiens qui ont d’abord brillé. Benjamin Lecomte a en effet su retarder l’échéance avec trois arrêts devant Laborde, déjà (26, 44), et surtout Ménez qui avait repiqué au centre et tenté une frappe croisée (37).

En face, Cédric Carrasso avait été vigilant sur une belle action bretonne initiée par Jimmy Cabot pour un extérieur du gauche de Sylvain Marveaux repoussé d’une main ferme (31). En revanche à la reprise, le gardien international appréciait mal la trajectoire d’un centre de l’entrant Jérémie Aliadière, et à la chute du ballon Benjamin Jeannot était plus prompt que Milan Gajic pour marquer (0–1, 47).

Menés, les Merlus sont restés dangereux sur coups de pied arrêté avec un Michaël Ciani s’imposant souvent dans les airs, mais sans jamais pouvoir trouver le cadre.

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Lille.


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27ème Journée : Lille 2 - 3 Girondins de Bordeaux

Lille – Bordeaux : Ounas en sauveur
Un match incroyable où Bordeaux est finalement sorti vainqueur...... 

Scénario incroyable à Lille. Menant 1 - 0, Bordeaux avait le match en main avant de craquer en deux minutes en encaissant deux buts (2-1). Mais Ounas, entré en jeu au cours de la seconde période, sur deux gestes de classe, a permis aux Girondins de l'emporter sur le fil et de donner 3 points importants (2-3).
En effet, Bordeaux prend seul la cinquième place au classement après les défaites conjuguées de Saint-Etienne et Marseille.

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Les Girondins ont mené au score avant d’être menés à leur tour puis de l’emporter en fin de match grâce à un doublé d’Adam Ounas

 

Trois buts contre Guingamp, trois sur le terrain de Lille, l’attaque des Girondins de Bordeaux carbure à plein régime en cette fin de mois de février. Grâce à de bonnes séquences collectives et quelques exploits individuels, notamment par Adam Ounas auteur d’un doublé, l’équipe de Jocelyn Gourvennec a empoché les trois points dans le Nord. Ou comment opérer son entrée dans le top 5 de la Ligue 1 avec la manière.

Le match : 2–3

Pour la première fois de la saison (et même pour la première fois depuis la fin de la saison 2014–2015), les Girondins ont présenté exactement la même composition au coup d’envoi que lors du match précédent. Et franchement, ça s’est vu. Les Bordelais ont pratiqué un jeu collectif agréable à l’oeil et qui semblait pouvoir les mettre hors de portée d’une équipe du Losc décevante pendant plus d’une heure de jeu.

Après une frappe croisée d’El Ghazi au ras du poteau de Carrasso (11e), Bordeaux a logiquement ouvert la marque à l’issue d’une action de toute beauté. Un service impeccable de Kamano a décalé Laborde dans la surface. D’une subtile talonnade dans son dos, l’avant-centre landais a servi Vada qui a parfaitement ouvert son pied pour tromper Enyeama (0–1, 16e)
En première mi-temps, les Girondins ont cadré quatre tirs, les Lillois aucun. Celui de Malcom, une jolie frappe enroulée claqué par Enyeama au-dessus de sa transversale aurait par exemple mérité meilleur sort (30e).

À la reprise, Bordeaux a failli s’offrir le break sur un nouveau beau mouvement collectif. Sur un service de Kamano, Vada s’est appuyé sur Sankharé qui lui a redonné le ballon en retrait. Mais la frappe du jeune argentin n’avait rien à voir avec celle qu’il avait réussi en première période (50e).

Alors qu’on pensait les Dogues aux abois, un tirage de maillot de Jovanovic dans la surface allait leur permettre d’égaliser, De Préville transformant le penalty (1–1, 66e). Pire, à peine une minute plus tard, le Portugais Eder (celui-là même qui avait crucifié les Bleus en finale de l’Euro 2016) résistait à Jovanovic puis éliminait Pallois avant d’adresser une frappe puissante que Carrasso, peu inspiré, détournait dans ses filets (2–1, 67e).

KO les Girondins ? Pas vraiment, grâce au coaching gagnant de Jocelyn Gourvennec. Après s’être interposé sur une frappe de Kamano, Enyeama était trompé par… la déviation de la tête de son défenseur Junior Alonso après une magnifique reprise de volée d’Ounas (2–2, 78e).
L’expulsion du Lillois Palmieri, beaucoup trop nerveux, a ouvert la voie d’un nouveau renversement de situation (80e). Repiquant dans l’axe et enroulant sa frappe du côté gauche, très loin de Enyeama, Ounas signait son doublé dans un stade Pierre-Mauroy médusé (2–3, 83e).

Après un bon raid de Kamano, Laborde a trouvé la transversale (90e+1) mais les Lillois n’ont cette fois pu changer le cours des choses. Expulsé, Rio Mavuba a même dû laisser ses partenaires terminer le temps additionnel à neuf.

L’homme du match

Rarement le collectif girondin n’avait autant brillé cette saison, qu’au cours de la première mi-temps à Lille. Et pourtant, c’est un remplaçant qui a fait basculer l’issue de la rencontre. En huit minutes, Adam Ounas a tout changé. Prenant la place de Malcom à la 75e minute, il a d’abord réussi un bijou de reprise de volée, légèrement déviée de la tête par Junior Alonso, pour offrir l’égalisation aux siens. Puis il s’est fendu d’une frappe enroulée splendide depuis le coin de la surface de réparation, logeant le ballon dans le petit filet opposé. Entre-temps, il avait provoqué l’expulsion de Palmieri, auteur d’un tacle plein de frustration.

Le chiffre du match

83. En alignant le même onze que contre Guingamp, Jocelyn Gourvennec a mis fin à une série de 83 matchs consécutifs avec une composition différente d’un match à l’autre. Les Girondins en ont profité pour aligner un deuxième succès de suite. Mais une question va se poser au coach bordelais vendredi prochain contre Lyon (trois jours après le match de Coupe de France mardi au Matmut Atlantique face à Lorient) : devra-t-il titulariser Adam Ounas ou pas ?

La déclaration

Jocelyn Gourvennec :  "C’est un drôle de scénario, mais dans l’ensemble je pense que c’est une victoire logique. On a été punis pour ne pas avoir su faire le break. Lille n’a pas lâché et a retourné le match en deux minutes. Je pense que les trois entrées ont été un élément important dans notre capacité à rester dans le match et continuer à faire mal à Lille. Les Lillois se sont mis à la faute avec leurs exclusions, et dans ce genre de match, il ne faut pas perdre ses nerfs. On a un groupe avec pas mal de jeunes et ils prennent de la densité ces derniers temps. Même quand Lille a mené, l’équipe n’a pas lâché. Le collectif est plus fort aujourd’hui."

Les notes de "Sud Ouest"

6 : Vada, Toulalan, Contento
5 : Kamano, Sankharé, Laborde, Gajic, Malcom
4 : Jovanovic, Pallois, Carrasso

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Lille et Bordeaux.


Source : dailymotion.com

22ème Journée : Oyonnax 18 - 10 Stade Montois

L’US Oyonnax continue sa marche en avant, mais néglige le bonus
Auteurs d'une belle prestation, les Montois sont pourtant revenus bredouilles d'Oyonnax.......

Les Montois ont dominé mais pas gagné...
Beaucoup de ballons perdus et des locaux très peu sanctionnés dans les rucks pour pouvoir espérer faire un résultat. Ajoutons à cela un manque de réussite au pied de Gerber qui, une fois n'est pas coutume pour lui, n'inscrit qu'une pénalité sur trois. Et ces deux essais d'Oyonnax qui ont marqué sur les deux seules incursions dans le camp de Mont-de-Marsan dans la première mi-temps (18-3) La rentrée des remplaçants en seconde mi-temps a fait du bien mais le retard accumulé en première période était trop important. Les Montois ont marqué un essai de pénalité grâce à une mêlée conquérante en fin de match (75', 18-10) ...
Un peu tard pour espérer ramener quelque chose malgré cette dernière touche perdue dans les 22m Oyonnaxien. Encore des imprécisions qui coutent des points importants.
Deux réceptions nous attendent et il faudra engranger des points pour asseoir une place dans les qualifiés...


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En tête de classement avant la victoire de Colomiers, Oyonnax devait absolument retrouver le chemin du succès après une mauvaise série de deux défaites à l’extérieur. Le Stade Montois quant à lui se déplaçait avec l’espoir de rester dans le top 5 de cette PROD2.
La collision des prétendants aux phases finales eu bien lieu au stade Mathon avec des Montois dominant les débats en première période jusqu’au réveil des Oyomen avec des essais de  Ikpefan (34e) et Ma’afu (40e). A la mi-temps le score affichait 18 - 3 en faveur d’Oyonnax.
La deuxième période fut à l’image de la première avec des Montois butant sur une défense d’Oyonnax bien en place. C’est grâce à un essai de pénalité (77e) que l’équipe visiteuse revenait à la marque …trop tard. Les rouge et noir ont fait le « job » et reprennent la tête de ProD2.

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Oyonnax et le Stade Montois.


Source : dailymotion.com   

26ème Journée : Girondins de Bordeaux 3 - 0 Guingamp

Ligue 1 : Bordeaux rend une excellente copie face à Guingamp
Bordeaux a effectué un match abouti et s'offre une belle victoire face à Guingamp........

Dans l 'ensemble match très agréable. On s'est pas ennuyés. Cette saison c'est les 30 ans des Ultramarines et les girondins ont porté un maillot "30 ans" sinon deux équipes qui jouaient.
Bordeaux a bien débuté mais c'est Guinguamp qui s' est créé des opportunités mais c 'est les Girondins qui on ouvert le score par Kamano d' une frappe enroulée à la Thierry Henry.
Ensuite il y a faillit avoir le second, par malcom, la barre.
Gingamp ne fermaait pas le jeu. Un très bon Carrasso.
On a eu une barre de Guimgamp.
Et avant la mi-temps, sur un corner, Nico Pallois, qui double la mise et 2-0 à la mi-temps.
Après en seconde période, les bretons à 10, et les Girondins ont géré, même s'il y a eu une petite alerte.
Ensuite l'enfant du pays (Landais, ndlr), Gaetan Laborde, qui met met le 3-0. Un Kamano et Toulalan de Gala.
Et une bonne défense...
Un Bordeaux à l'image de 2017 avec une belle ambiance.


Merci à Greg, supporter des Girondins.

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Emmenés par un étincelant Kamano, les Girondins se sont imposés avec la manière face à Guingamp (3–0) et recollent au wagon européen

 

C’est certainement une de leurs prestations les plus abouties de la saison. Les Girondins de Bordeaux ont idéalement fêté le 30e anniversaire des Ultras en leur offrant une victoire avec la manière (3–0) contre Guingamp, un concurrent dans la course à l’Europe. Avec un excellent Kamano toujours dans les bons coups et auteur de l’ouverture du score, les Bordelais se sont mis à l’abri avant la pause par Pallois avant que Laborde, sur un service de Kamano, ne parachève le succès girondin. Grâce à cette victoire, Bordeaux recolle aux places européennes.

La synthèse

Pour fêter les 30 ans des Ultras Marines, Bordeaux avait à coeur de rendre une belle copie face à Guingamp. Dans des conditions de jeu idéales, les deux équipes montrent d’entrée des velléités offensives avec une première frappe de De Pauw bien repoussée par Carrasso (8e).
Après 10 minutes d’observation, les Girondins s’installent dans la camp breton et, sur leur première occasion franche, Kamano, servi par l’ancien guingampais Sankharé, trompe Johnsson d’une subtile frappe enroulée dans le petit filet du portier de l’EAG (13e, 1–0). A l’image de ses récentes bonnes prestations, l’ancien Bastiais est intenable et met à mal la défense adverse par sa vitesse et son aisance balle au pied.

Même si Guingamp a du répondant avec le ciseau de Bénézet qui vient faire briller Carrasso (25e) et une tête de Diallo sur corner qui heurte la barre du portier girondin (34e), Bordeaux continue de mettre la pression sur la défense guingampaise.
Avant Diallo, c’est Malcom qui avait touché la barre sur une frappe sèche des 20 mètres (31e). Et c’est encore lui qui servira Pallois sur corner pour le but du break avant la pause (41e, 2–0).

Au retour des vestiaires, le show Kamano continue. Le Guinéen perd un premier face-à-face contre Johnsson avant de tenter un bis repetita du premier but en enroulant un petit ballon dans le petit filet sauvé sur la ligne par Kerbrat (57e). C’est encore lui qui provoquera le rouge de Martins Pereira (58e), auteur d’un tacle par derrière.

Réduits à dix, les Guingampais se ruent à l’attaque et laissent des espaces dans leur dos. Sur un contre éclair, Contento sert Kamano dans la surface qui contrôle en extension, sert Laborde qui s’arrache et pousse le ballon au fond des filets (71e, 3–0).
La fin de match est pénible pour les Bretons qui, en infériorité numérique, courent après le ballon face à des Bordelais en gestion.
Grâce à cette victoire, Bordeaux recolle à Marseille au classement et creuse un écart de cinq points avec le 8e, Guingamp.

Les notes de Sud Ouest

7 Carrasso, Malcom, Kamano.
6 Gajic, Jovanovic, Vada, Sankharé, Toulalan
5 Pallois, Contento, Laborde,


De retour au poste d’ailier gauche, François Kamano fut le grand artisan de la victoire des Girondins. Bien lancé par Sankharé, il signa le premier but d’un tir enveloppé (13e) et offrit le troisième à Laborde d’une passe peu orthodoxe (71e).

Incisif, véloce, il infligea un calvaire à son vis-à-vis Martins Pereira, qui ne sut jamais comment le prendre. Après un premier carton, l’arrière droit de Guingamp finit par exploser et lui infliger un mauvais coup qui lui valut un deuxième jaune, synonyme de retour aux vestiaires.

Kamano, lui, aurait dû, compte tenu de sa facilité du jour, marquer facilement un ou deux buts de plus. Mais après sa réussite initiale, il hésita entre passe et tir, gaspillant quelques belles munitions. Il manqua une tête sur une passe parfaite de Malcom (17e) mais faillit bien réussir son doublé, en tentant un petit pont sur Johnsson, qui récupéra le ballon derrière lui.

Il reste qu’avec son but, son sixième de la saison, l’ancien Bastiais est devenu le meilleur buteur des Girondins en Ligue 1, devant Rolan (5). Cela commence à ressembler à quelque chose, pour ce joueur recruté en complément, pourtant quasi indispensable aujourd’hui.

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Guingamp.


Source : dailymotion.com

21ème Journée : Stade Montois 28 - 18 Colomiers

Stade Montois : vite, la suite
Les Montois se sortent du piège Columérin, et se placent idéalement dans le wagon de tête.....

Face à un concurrent direct pour les phases finales, les Montois l'ont emporté sans donner le moindre point.
La chose n'était pourtant pas aisée.
Colomiers est une équipe accrocheuse, qui bataille dans les rucks et qui est toujours à la limite, n'hésitant pas d'ailleurs à aller au delà...
Gerber, en grand forme, a puni Colomiers en inscrivant la bagatelle de 7 pénalités.
La victoire était loin d'être acquise à la mi-temps avec un score de 15-9 pour les Montois.
En seconde période, l'essai inscrit par Salawa à la retombée, sur un renvoi, à la 72ème mn, a scellé le score.
Colomiers ne reviendra pas.
Les Montois ont été poussifs mais ont réussi l'essentiel en empochant les 4 points de la victoire.
Les Montois se placent dans le wagon de tête.


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Après sa désillusion à Carcassonne la semaine précédente avec une défaite sur le fil, Mont-de-Marsan avait à coeur de se racheter devant son public. Un hic cependant, son adversaire du jour venait gonflé à bloc après sa victoire sur le leader oyonnaxien, et sa deuxième place au classement. Un danger d'autant plus accru pour les locaux que les Colmumérins avaient fait de Boniface l'une de leurs destinations fétiches, eux qui y avaient signé deux victoires et glané un nul lors de leurs cinq derniers déplacements. Malgré cela, tout en maîtrises, les Jaune et noir ont géré la rencontre de main de maître, gérant dans un premier temps et concrétisant au pied avant de s'envoler grâce à l'essai de Salawa. Un succès qui leur permet de réintégrer le wagon des qualifiables. Colomiers recule à le troisième place en attendant le match d'Agen à Perpignan dimanche.

Article : lnr.fr.     

Résumé en images de la rencontre entre le Stade Montois et Colomiers.


Source : dailymotion.com                                                                                                                  

vendredi 17 février 2017

Girondins de Bordeaux 0 - 3 Paris

Au Matmut, les Girondins de Bordeaux n’assurent pas
Bordeaux n'a pas pu offrir une victoire de prestige à ses supporters, Paris était au dessus........ 

Très vite mené au score, (Cavani, 6'), Bordeaux va vite sombrer et encaisser un deuxième but en première période (Di Maria, 41'). En seconde période, Bordeaux va entièrement couler en concédant le troisième et dernier but marqué par Cavani (48'), auteur ce soir d'un doublé.
Paris va ensuite gérer sereinement son avance.
Bordeaux essaiera d'égaliser dans le dernier quart d'heure mais en vain.
Maladroits et empruntés, les Bordelais n'ont pas pu sauver l'honneur sur leur pelouse, dans un stade plus garni qu'à l'accoutumée.
Les Girondins stagnent au classement et manquent une occasion de prendre seuls la 5ème place.


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Bordeaux s’est logiquement incliné au Matmut Atlantique face à un PSG sérieux et efficace (0–3)


Tout simplement trop fort. Après le 4–1 infligé aux Bordelais en Coupe de la Ligue, le PSG s’est à nouveau imposé au Matmut Atlantique avec un but de Di Maria et un doublé de Cavani. Avant un match charnière face à Barcelone, Paris s’est rapidement mis sur de bons rails avant de se mettre à l’abri avant la mi-temps. Les Girondins n’ont jamais trouvé la clé dans la défense francilienne.

Le match

Un stade quasi plein, un match de gala face à une équipe de haut de tableau et… un but dès la 6e minute avec une superbe volée de Cavani sur un dégagement dans l’axe de Jovanovic (0–1). Les vieux fantômes du match face à Monaco et le cinglant 4–0 resurgissent d’entrée de match.
Quatre jours avant un match crucial face à Barcelone, le PSG est sérieux, appliqué, inspiré avec notamment le retour de Verratti en chef d’orchestre. C’est lui qui lance l’offensive de Di Maria qui voit son tir repoussé par Carrasso (16e). Bordeaux ne veut pas courber l’échine et tente avec une tête de Sankharé (17e) et une frappe de Rolan (23e), bien stoppées par Trapp. Les Girondins ne restent pas groggys après le premier but parisien contrairement au match face à Monaco mais se heurtent systématiquement au verrou parisien.

Le jeu bordelais manque clairement de spontanéité et le PSG en profite. Sur un contre éclair, Verratti sert Di Maria sur un plateau dans le dos de la défense, l’Argentin ajuste Carrasso d’un ballon piqué impeccable. Le break est fait (40e, 0–2) avant la pause. Le PSG est en contrôle et Bordeaux ne trouve pas les solutions dans l’arrière-garde francilienne.

Le début du second acte se calque sur l’entame de match. Di Maria, encore lui, centre sur l’inévitable Cavani qui claque une nouvelle volée gagnante dans le petit filet de Carrasso (0–3, 48e). Cette fois-ci, Bordeaux a pris un vrai coup sur la tête. Décevant et peu inspiré, Ménez sort sous les sifflets et cède sa place à Kamano. Emery fait souffler ses cadres en sortant notamment Verratti et Di Maria.
En confiance après son doublé à Caen, Kamano s’illustre rapidement en servant Vada, lui aussi entré en jeu, dans la surface, mais l’Argentin bute sur Trapp (66e). Le PSG ronronne mais Bordeaux reste trop timoré. Rolan passe à son tour tout près de l’ouverture du score en contrant un dégagement de Kimpembé (77e).

Comme en Coupe de la Ligue, le PSG termine le match sans forcer, se contentant de gérer son avantage qui lui permet de recoller provisoirement au leader monégasque. Bordeaux devra lui immédiatement rebondir à domicile face à Guingamp le 19 février pour rester coller au wagon européen.

La déclaration

Jérémy Toulalan au micro de Canal : "On a essayé d’aller les chercher haut mais dès qu’ils récupéraient, ils allaient très vite vers l’avant. Le plus important c’est de tenir face à une équipe comme ça mais on prend un but rapide et après c’est difficile. Il faut pas tout mettre à la poubelle. Ce soir, on avait des intentions de jouer mais on tombe sur une grosse équipe de Paris".

Article : sudouest.fr

Résumé en images de la rencontre entre Bordeaux et Paris.


Source : dailymotion.com 

20ème Journée : Carcassonne 25 - 22 Stade Montois

Antoine Lescalmel, le demi d’ouverture de l’USC, a réalisé un 100 % au pied, inscrivant 20 des 25 points de Carcassonne.
Les Montois perdent le match et le bonus offensif en toute fin de match.... Cruel..... 

Malgré 3 essais à 1, les Montois ont été trop sanctionnés et moins adroits au pied (Lescalmel 100% et les Montois ont manqué une transformation et une pénalité) pour pouvoir l'emporter.
Menant encore 18-22 à trois minutes de la fin du match, les Landais vont encaisser un essai rédhibitoire qui a scellé le score.
Pourtant, c'est bien le Stade Montois qui a montré un beau visage et qui a joué un meilleur rugby.
Hélas, encore trop de fautes sifflées contre les Montois qui ne méritaient pas de perdre un match, qui était pourtant largement à leur portée.
Le point de bonus défensif semble bien amer, tant les efforts ont été déployés pour l'emporter.
C'est clairement trois point de perdus au classement.
Les Montois devront donc se refaire la cerise et gagner la prochaine rencontre face à un concurrent direct à domicile, Colomiers.


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Mené jusqu’à la 76e minute par une équipe de Mont-de-Marsan qui avait en main le bonus offensif, Carcassonne a arraché la victoire hier, vendredi soir, au stade Albert-Domec. Un succès de prestige qui lui offre le droit de rêver à une fin de saison palpitante.

A quatre minutes près, Mont-de-Marsan avait réalisé le «coup parfait». Joël Koffi, le 3e ligne de l’USC le reconnaissait lui-même, quelques minutes après cette victoire arrachée par les Carcassonnais dans les derniers instants, comme ils l’ont déjà fait tant de fois cette saison. Avec ce succès de prestige conquis contre un candidat déclaré aux demi-finales d’accession, les Carcassonnais n’ont certes pas changé de place au classement. Ils sont toujours, au soir de cette 20e journée, en 7e position. Mais cette victoire, la 11e de la saison, leur garantit, sauf cataclysmique fin d’exercice, une saison de plus, la prochaine, en Pro D2. Et leur offre sans doute aussi l’occasion de se mêler à la lutte pour le Top 5. Pour gagner ce droit, les Carcassonnais ont d’abord pu compter sur M. 100 %.

Dans une première mi-temps jouée avec l’appui du vent, Antoine Lescalmel a enchaîné sans trembler. Face aux poteaux, à 15 m. Mais aussi à gauche ou à droite des perches, à 40 m et plus. De quoi mener l’USC devant à la mi-temps, tout en ayant largement laissé à Mont-de-Marsan l’usage du ballon, avec un gain minimal: celui de l’essai à la 18e minute par Malafosse, née d’une touche à 20 m de l’en-but audois, avec un petit relais avant que Malafosse ne marque.

  • Le terrible essai en contre de la 62e
L’USC avait même été tout près, contre le cours du jeu, de s’offrir une avance encore plus conséquente que le 15-8 sifflé à la mi-temps: mais Marrou, servi par Lescalmel, commettait un en-avant dans l’en-but. Pas de quoi enlever aux Montois leurs envies de grand large, et surtout de bonus offensif. Pari tenu lorsque Brethous inscrivait le 2e essai landais dès la 52e. Pari gagné à la 62e avec un terrible 3e essai, sur un contre de 80 m de Salawa, auteur d’une offrande pour son arrière Gerber. Mont-de-Marsan, en souffrance en mêlée fermée depuis quelques minutes, venait pourtant de subir un terrible maul sur plus de 20 mètres. Jusqu’à ce qu’une croisée de Lescalmel ne trouve les bras de Salawa. Mont-de-Marsan basculait alors devant, 18-22, au pire des moments. Mont-de-Marsan, avec ses cinq points au compteur, faisait alors une des belles affaires de cette 20e journée où les gros étaient invités à s’expliquer. C’était sans compter sur la folle envie carcassonnaise. A la 73e, Brana, servi par Roidot, commettait un en-avant à 5 mètres de la ligne. Partie seulement remise. Une première pénaltouche, à la 75e, valait répétition. Une minute plus tard, Paiva était emmené par le pack de l’USC derrière la ligne. Une transformation de M. 100 % pour la forme, et Carcassonne ramenait le compteur de Mont-de-Marsan de cinq à un point.

Article : l'independant.fr 

Résumé en images de la rencontre entre Carcassonne et le Stade Montois.


Source : dailymotion.com

24ème Journée : Caen 0 - 4 Girondins de Bordeaux

Girondins de Bordeaux : Jovanovic a séduit
Jovanovic, nouvelle jeune recrue de Bordeaux au mercato, a fait le job........

Bordeaux a été très réaliste à Caen. Face à une équipe peu mobilisée, Bordeaux a été sérieux et sur les 4 tirs cadrés, 4 buts ont été marqués.
Kamano a été l'homme du match avec 2 buts et 1 passe décisive...
De bon augure avant la réception de Paris vendredi.

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Belle opération de Bordeaux qui s’impose grâce à des buts de Rolan, Plasil et Kamano (doublé) et remonte provisoirement à la hauteur de la cinquième place.


La synthèse

Décevants face à Rennes samedi, les Bordelais ont rendu une copie très propre à Caen, où ils se sont sereinement imposés (4–0) face à des Caennais sans grande volonté et qui leur ont offert les deux premiers buts en début de match. Ils restent invaincus en championnat en 2017 et reviennent à hauteur de Saint-Étienne, cinquième.

Le résumé

Un cadeau, puis un autre : voici comment s’est dessinée la victoire des Girondins ce mardi à Caen. Il y a d’abord eu cette remise complètement manquée de Leborgne vers Vercoutre dont Rolan a impeccablement profité (0–1, 10e), puis cette erreur incompréhensible du portier normand sur une frappe anodine de Kamano (0–2, 21e).

Les Bordelais, qui ont failli concéder l’ouverture du score en tout début de match sur une tête de Karamoh de peu à côté (4e), n’ont donc vraiment pas eu à forcer leur talent pour faire la différence, simplement à saisir les opportunités offertes par un adversaire fébrile (17e défense du championnat). Et lorsqu’ils ont patiemment construit une attaque placée de droite à gauche, Kamano, servi par Plasil, est passé tout près du doublé (39e).

La seconde période n’a pas bouleversé l’ordre établi. Les Girondins, supérieurs techniquement et sérieux derrière, à l’image d’un Jovanovic convaincant pour sa première, se sont appliqués à dérouler leur jeu jusqu’à trouver des failles, souvent ouvertes par le jeu très vertical de Sankharé ou les dribbles de Malcom.

D’autant que Caen ne s’est quasiment jamais embarrassé à exercer un pressing, y compris dans sa moitié de terrain. Et c’est dans une défense apathique que Kamano s’est baladé pour inscrire le troisième but (0–3, 63e). Laborde n’a pas réussi à aggraver la note (80e), contrairement à Plasil dont la frappe sèche a trouvé le petit filet (0–4, 90e).

Les notes de la rédaction :

7/10 : Kamano
6/10 : Carrasso, Gajic, Jovanovic, Pallois, Sabaly, Plasil, Toulalan, Malcom, Sankharé, Rolan


L’homme du match : François Kamano

Titulaire à gauche de l’attaque bordelaise, François Kamano a fait preuve d’une belle efficacité en marquant deux des quatre buts bordelais. L’ancien Bastiais profita à chaque fois des largesses de la défense caennaise, pour montrer la qualité de ses dribbles et de son tir enveloppé du pied droit. Sur le premier de ses buts, il surgit à gauche sur une passe de Sankharé, enrhuma Leborgne d’un passement de jambes et décocha un tir, dont le rebond obligea Vercoutre à tenter un arrêt du pied droit, en pure perte. Sur le second, il emmena encore Leborgne, le crocheta sur l’intérieur et parvint à marquer son deuxième but, en dépit de la présence de Yahia. Ainsi, le Guinéen a-t-il porté son total buts à cinq unités, devenant, avec Diego Rolan, auteur de l’ouverture du score, le co-meilleur buteur des Girondins.

Le chiffre : 1

Preuve du match totalement raté par les Caennais : ils n’ont cadré qu’un seul tir (sur quatre tentatives) durant la rencontre. Il a fallu attendre la 92e minute pour voir Bazile obliger Carrasso à se détendre sur sa gauche pour repousser le ballon.

La réaction : Cédric Carrasso

"On a fait un match du standing des Girondins, un match plein. Quand on a l’occasion de marquer des buts on les met, on est sérieux jusqu’au bout. Quand tu prétends jouer le haut du tableau, il faut sanctionner quand tu en as la possibilité et ce soir on l’a fait. Ce n’est qu’un début mais ce soir on ressemble à une vraie équipe." (au micro de Bein Sports)

Article : sudouest.fr 

Résumé en images de la rencontre entre Caen et Bordeaux.


Source : dailymotion.com